De nos rêves, la nuit assassine
Nous domine, nous broie
Aucune trêve, sinon le glaive
Un souffrance in extenso
Indifférence 2.0
De nos rêves, la nuit s'achève
Les souvenirs, rester ou fuir
C'est alors la mort dans l'âme
A nos yeux peuplés de larmes
Que l'on sombre : le mal est
fait !
De nos rêves célestes la nuit
sibylline
Détaille les maux à giclée
La morphine est notre sœur aimable
A lutter contre ces douleurs
Dans l'oubli de la nuit, on s’éteint
Laplume 12/2019
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire